DEVENIR ORTHOPEDAGOGUE
Pour découvrir le métier d'orthopédagogue !
Si vous êtes à la recherche d’informations claires et pratiques pour explorer le domaine de l'orthopédagogie, vous êtes au bon endroit.
Après avoir exercé pendant 20 ans en tant qu'avocate spécialisée en Droit des affaires,
je me suis tournée vers l'orthopédagogie en libéral à partir de 2018.
Forte de cette double expertise, je vous propose des sessions découvertes personnalisées.
Ces séances se distinguent par des mises en situation concrètes, un véritable partage d'expérience et des conseils pratiques, le tout accompagné d'explications claires et d'outils concrets.
Explorez le monde passionnant de l'orthopédagogie avec moi,
et découvrez comment cette discipline peut enrichir votre parcours professionnel ou vous réorienter.
Financement OPCO possible
N'hésitez pas à parcourir notre site pour en savoir plus sur les détails de la formation et les différentes options disponibles.
Bienvenue dans l'univers captivant de l'orthopédagogie.
L'orthopédagogie, c'est quoi ?
Ortho = remettre droit
Pédagogie = science des apprentissages
L'orthopédagogue, un professionnel des apprentissages :
Apprendre à apprendre à des élèves, étudiants, adultes, professionnels...
En France, c'est un métier nouveau. Il n'est pas encore réglementé.
Il y a actuellement une centaine de professionnels qui se présentent comme orthopédagogues.
Pourtant, ce métier existe et est reconnu depuis les années 1960, dans plusieurs pays notamment au Canada et en Belgique, où il s'exerce plutôt dans les établissements scolaires, à l'instar de nos enseignants spécialisés.
L'orthopédagogie s'appuie notamment sur les neurosciences et vise à
remédier aux difficultés d'apprentissage ou à déployer les capacités d'apprentissage.
Au Québec, elle est définie comme "la science de l'éducation dont l'objet est l'évaluation et l'intervention relatives aux apprenants susceptibles de présenter ou présentant des difficultés d'apprentissage scolaire, incluant les troubles d'apprentissage."
En Belgique, on trouve les orthopédagogues principalement dans les milieux professionnels "s’adressant à des publics en difficulté d’apprentissage et en situation de handicap dans des environnements inclusifs et spécialisés. Institutions et écoles sont nombreuses à recherche ce profil professionnel."
MON PARCOURS
Du Droit à la Pédagogie
- Titulaire d'un Bac scientifique, d'un Master en Droit des affaires et du diplôme d'Avocat,
- Avocate en Droit des entreprises et propriété intellectuelle et fondatrice du Cabinet ProxiA-Conseil, jusqu’en 2017.
Désireuse de changer de rythme de travail, je vends mon cabinet fin 2017, à 45 ans et décide de suivre une formation sur la "Pédagogie des moyens d’apprendre" d'Antoine de la Garanderie.
J'y découvre les cinq gestes mentaux de l'apprentissage et mes propres stratégies cognitives d'apprentissage.
Je comprends ce qui m'a permis de réussir ma scolarité et que "Réussir, ça s'apprend!".
UNE VERITABLE REVELATION !!!
Pourquoi cette voie ?
J'ai eu la chance de rencontrer en 2017 une professionnelle des apprentissages scolaires qui m'a fait découvrir l'approche d'Antoine de la Garanderie et m'a permis de pressentir toutes les limites de la pédagogie de type classique et sa rigidité face à la multiplicité des moyens d'apprendre.
Dans la foulée, je lis par hasard "Chagrin d'école"* de Daniel PENNAC, un écrivain brillant, entremêle ainsi souvenirs autobiographiques et réflexions sur la pédagogie et les dysfonctionnements de l’institution scolaire, sur la douleur d’être cancre et la soif d’apprendre, sur le sentiment d’exclusion et l’amour de l’enseignement.
Je réalise également que:
- l'école française n'apprend pas à apprendre. Certains enfants sont naturellement scolaires, d'autres pas sans pour autant être moins intelligents. D'ailleurs, il est établi que de nombreux élèves à haut potentiel (QI sup. à 130) sont en échec scolaire;
- nous avons tous des styles d’apprentissage différents, nos propres habitudes mentales;
- le manque de confiance en soi génère chez l’élève un sentiment de peur de faire, qui bloque ses ressources mentales, même s’il s’en défend et prend une attitude d’indifférence;
Mais que, heureusement,
- l'intelligence est éducable;
- chacun peut découvrir ce dont il a besoin pour apprendre et réussir à l’école.
*« Donc, j’étais un mauvais élève. Chaque soir de mon enfance, je rentrais à la maison poursuivi par l’école. Mes carnets disaient la réprobation de mes maîtres. Quand je n’étais pas le dernier de ma classe, c’est que j’en étais l’avant-dernier. (Champagne !) Fermé à l’arithmétique d’abord, aux mathématiques ensuite, profondément dysorthographique, rétif à la mémorisation des dates et à la localisation des lieux géographiques, inapte à l’apprentissage des langues étrangères, réputé paresseux (leçons non apprises, travail non fait), je rapportais à la maison des résultats pitoyables que ne rachetaient ni la musique, ni le sport, ni d’ailleurs aucune activité parascolaire.
